Le président biélorusse Alexandre Loukachenko a signé une loi prévoyant des modifications aux lois sur les questions d'emploi.
Le document vise à créer des conditions supplémentaires pour l'emploi de la population.
Le service de presse présidentiel l'a rapporté.
Que contient la loi sur les questions d'emploi
Afin d'éliminer les sentiments de dépendance, la loi renforce les conditions d'octroi et de perception des allocations de chômage.
Il sera nommé dès son inscription au service de l'emploi dans un délai d'un mois après son licenciement. Aussi, pour attribuer une prestation, vous devez être en relation de travail avec versement de cotisations à la Caisse de Sécurité Sociale depuis au moins 5 ans avant l'inscription.
La durée de versement des prestations est réduite de six à trois mois et la durée maximale d'inscription est réduite de 18 mois à un an.
L'enregistrement électronique des chômeurs est en cours d'introduction. Il sera également possible de s'inscrire aussi bien au lieu de résidence qu'au lieu de séjour.
La liste des catégories de chômeurs bénéficiant de garanties d'emploi supplémentaires a été élargie.
La liste comprend les personnes en âge de préretraite (cinq ans avant la retraite), ainsi que les personnes qui ont cessé de fréquenter des établissements de traitement médical et celles qui souffrent d'alcoolisme/de toxicomanie et ont suivi une rééducation médicale.
La loi prévoit également des possibilités élargies pour les citoyens de recevoir une aide du service de l'emploi pour trouver un emploi et des employeurs pour recruter du personnel.
Les employeurs auront le droit de soumettre à la Banque pan-républicaine des postes vacants des informations sur les besoins actuels et futurs de travailleurs pour les emplois existants et nouveaux.
Par ailleurs, la loi prévoit l'introduction de l'institution de quotas d'emplois pour les personnes handicapées. Des quotas seront établis pour les employeurs de toutes formes de propriété (à l'exception des associations publiques de personnes handicapées, des organisations budgétaires et à but non lucratif) selon les modalités et le montant déterminés par le Conseil des ministres.