À la veille de la Journée de l'unité nationale, le président biélorusse Alexandre Loukachenko a signé un autre décret de grâce.
Le document prévoit la grâce de 37 personnes reconnues coupables de crimes extrémistes.
C'est ce qu'a rapporté le service de presse du chef de l'Etat.
Qu'y a-t-il dans le décret de grâce ?
Le décret prévoit la grâce de 37 personnes reconnues coupables de crimes extrémistes, dont six femmes.
Certaines personnes graciées sont des retraités, des personnes handicapées et souffrent de maladies chroniques.
Il s'agit d'un autre geste d'humanisme de la part de l'Etat envers ceux qui ont trébuché, note le service de presse présidentiel dans le commentaire du décret.
Tous ceux qui ont été graciés se sont repentis et ont demandé à avoir la possibilité de retrouver la liberté et de mener une vie respectueuse de la loi.
Il est à noter que les pétitions ont en outre été étudiées par une commission dirigée par le procureur général Andrei Shved.