Pourquoi il y a moins d'amis avec l'âge : 3 raisons

02.11.2024 17:18

Enfant, vous aviez beaucoup d’amis, mais lorsque vous êtes devenu adulte, est-ce que tous vos amis ont semblé « s’évaporer » ?

Ne soyez pas surpris ! C'est un phénomène courant.

Beaucoup de gens se plaignent d’avoir moins d’amis en vieillissant.

C'est bien si, entre 30 et 40 ans, une personne a encore au moins un ami.

Quelle est la raison pour laquelle on perd des amis ? Il y a plusieurs points auxquels il convient de prêter attention.

Amis
Photo: © Belnovosti

Il n’y a plus rien de « fédérateur »

Un étudiant et ses amis ont beaucoup de points communs : étudier dans la même classe, vivre dans le même quartier, les mêmes loisirs, etc.

Mais dès qu’on obtient un certificat et qu’on entre dans une université dans une autre ville, les amitiés deviennent moins fortes.

Bien entendu, de nombreuses personnes continuent de communiquer, même vivant dans des localités différentes. Mais entretenir une amitié dans de telles conditions est très difficile.

Même si les amis restent dans la même ville, ils auront moins de points de contact : ils exercent des métiers différents, chacun a ses propres problèmes, etc.

Travail et famille

L’une des raisons courantes pour lesquelles on met fin à une amitié à l’âge adulte est le fait d’être occupé.

Une personne qui travaille 8 heures par jour et consacre son temps libre à sa famille n'a tout simplement pas le temps de voir ses amis.

Malheureusement, les problèmes des adultes ne contribuent pas à la préservation des relations amicales nées dès l'enfance.

Il n’y a plus besoin d’adaptation sociale

De nombreux écoliers ou étudiants doivent être en groupe.

La communication leur fait se sentir importants et nécessaires.

Mais un adulte qui s'est réalisé dans son métier et connaît sa valeur n'a plus besoin de nombreux amis qui le considèrent comme « l'un des leurs ».

Kurchev Anton Auteur: Kurchev Anton Rédacteur en chef adjoint


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  1. Il n’y a plus rien de « fédérateur »
  2. Travail et famille
  3. Il n’y a plus besoin d’adaptation sociale