Qu’ont en commun une trousse de premiers secours et un jardin ? Il s’avère qu’une bouteille ordinaire peut devenir une arme secrète pour la croissance explosive des semis.
Les jardiniers qui ont découvert cette méthode récoltent désormais des récoltes qui font l’envie de la rue.
L’iode n’est pas seulement un antiseptique. Pour les plantes, il agit comme un catalyseur : il accélère le métabolisme, aide à absorber l’azote et protège contre les infections fongiques.

Une simple goutte de cette substance réveille les réserves « dormantes » des plants de tomates et de poivrons, stimulant le développement des racines et épaississant les tiges.
Le résultat est que les plantes tombent moins souvent malades et s’adaptent plus rapidement après la transplantation.
La règle principale est la modération. Avant la première alimentation, attendez que les plantules aient libéré 2 à 3 vraies feuilles.
Dissoudre 1 goutte d’iode dans 1,5 litre d’eau. Pour l'arrosage, utiliser une seringue sans aiguille : 30-50 ml sous chaque buisson en évitant le contact avec les feuilles.
Après la cueillette, la concentration est réduite (1 goutte pour 1 l), et la dose est augmentée à 2 cuillères à soupe. cuillères par plante.
Une alimentation répétée n'est pas nécessaire : un excès d'iode est plus dangereux qu'une carence.
Les trois piliers d’une culture réussie :
- Régime lumineux : 12-14 heures par jour. S'il n'y a pas assez de soleil, ajoutez des phytolampes.
- La température pendant la journée ne dépasse pas +25°C, la nuit +16-18°C. Les changements soudains affaiblissent les plantes.
- Arrosage - uniquement lorsque le sol est sec jusqu'à une profondeur de 1 cm. Arrosage excessif + iode = risque de brûlure des racines.
En suivant ces étapes, même un débutant fera pousser des semis qui surpasseront les plates-bandes de ses voisins.
Et la question est : « Qu’ajoutez-vous à l’eau ? » deviendra le compliment le plus fréquent de votre été.