Les experts classent le mildiou parmi les maladies les plus dangereuses qui non seulement nuisent aux tomates, mais les détruisent complètement.
À des températures moyennes de l’air (environ 20 degrés), l’infection atteint des niveaux catastrophiques en seulement trois jours. Et avec une humidité élevée, c’est encore plus rapide.
Dans les cas où le traitement est retardé ou retardé, les plantes meurent complètement en une semaine et demie à deux semaines. Il est donc extrêmement important de pouvoir reconnaître à temps les premiers symptômes de cette terrible maladie.
Dans la plupart des cas, les jardiniers ne remarquent que quelque chose ne va pas lorsque les fruits eux-mêmes commencent à pourrir.
Ils se précipitent pour sauver la récolte en urgence, mais à ce stade, rien ne peut être corrigé : les dégâts sur les fruits constituent la dernière phase de l'infection. La chose la plus raisonnable à faire dans cette situation est de déterrer le buisson et de le brûler.
Lorsqu'elles sont infectées par le mildiou, les plantes ne peuvent être sauvées que si les tout premiers signes sont remarqués à temps.
Par conséquent, il est extrêmement important d'inspecter régulièrement les plantations et de prendre des mesures rapides pour les protéger.
Tout d'abord, le champignon s'installe sur les feuilles inférieures des tomates. Sa présence peut être déterminée par des taches sombres et floues et une couche blanchâtre sur le dos des feuilles.
Lorsque les fortes chaleurs s’installent, les zones infectées se dessèchent très rapidement et s’effritent au moindre contact.
Ensuite, l’infection commence à se propager dans toute la plante, affectant les tiges, les tiges et les fruits eux-mêmes.
Il est déjà impossible de ne pas remarquer ses manifestations à ce stade : tout le buisson est couvert de taches brunes et les tomates commencent à noircir.
Les récolter pendant cette période n’a plus de sens ; même si les conditions idéales sont réunies, ils ne pourront toujours pas survivre et mûrir.