Au début du printemps, il ne faut pas se précipiter pour retirer la protection des rosiers couverts pour l'hiver. Mais le problème est que le séjour prolongé d’une plante sous un matériau de protection est lourd de conséquences.
Voici quelques conseils pour résoudre ce problème sans nuire à la brousse.
Même s'il s'agit d'un abri sec à l'air, cela ne signifie pas qu'un buisson peut rester en dessous pendant la moitié du mois de mars.
De telles structures à ossature offrent une bonne protection contre le vent et le soleil éclatant, mais pas contre le gel. Au printemps, leur principal inconvénient est le manque de circulation de l'air, ce qui entraîne le développement de maladies fongiques et une surchauffe de la plante, ce qui arrive plus souvent que le gel.
Par où commencer
Tout commence par une aération planifiée de l'abri, lorsque le matériau de protection est soulevé des deux côtés. À ce moment-là, la température de l'air pendant la journée devrait être inférieure à 5 degrés Celsius.
Il est important d'inspecter la brousse à ce moment-là. Même si de la moisissure blanche apparaît, vous pouvez laisser la plante au soleil pendant 20 à 30 minutes et elle disparaîtra.
Après cela, l'abri est remis à sa place.
Il est important d’éviter que les pousses ne se réchauffent, ce qui arrive souvent au printemps. Pour ce faire, le matériau est surélevé du côté nord afin que les rayons du soleil ne tombent pas sur le buisson.
En mars, il est trop tôt pour retirer la protection, et jusqu'à ce que le sol dégèle enfin, les rosiers sont à l'abri.
À ce stade, vous pouvez retirer la couche d'humus ou de tourbe qui a servi à recouvrir les roses pour l'hiver.
La ventilation se poursuit jusqu'à la mi-avril ou plus tard - jusqu'à ce que la température dépasse +15 degrés Celsius et que la menace de gelées nocturnes disparaisse. Lorsqu'il fait plus chaud, les roses peuvent être placées sous un cadre en spunbond - il laisse passer l'air et la lumière, mais protège des brûlures et du vent froid.