Imaginez : votre enfant joue avec un chat et une seconde plus tard, sa main est couverte de griffures. Ce n’est pas une coïncidence, mais une tendance chez certaines races.
Les vétérinaires tirent la sonnette d'alarme : les chats « familiaux » populaires pourraient être plus dangereux que les chiens.
Qui sont-ils – des agresseurs cachés prêts à attaquer le bébé ?
Les Maine Coons ressemblent à de doux géants, mais leur taille constitue déjà une menace.
Ces chats ne sont pas toujours conscients de leur force : lorsqu'ils jouent, ils peuvent accidentellement griffer un enfant, et ils perçoivent les mouvements brusques des enfants comme un défi.
Leur instinct de chasseur est accru la nuit : un bébé endormi dont les jambes bougent sous la couverture peut devenir la cible d’une « attaque ».
Les Abyssins sont un ouragan dans le corps d'un chat. Leur hyperactivité et leur intolérance aux restrictions sont une bombe à retardement dans les familles avec enfants.
Si un enfant essaie de tenir un tel chat dans ses bras, il commencera à se débattre, à mordre et à griffer.
Les vétérinaires attribuent leur agressivité à la mémoire génétique : les ancêtres des Abyssins vivaient dans la nature, où toute pression signifiait la mort. Ces chats ne conviennent pas aux foyers qui ne disposent pas d'espaces calmes pour plus d'intimité.
Les Britanniques « luxueux » détestent le bruit et l’agitation. Les rires des enfants, les tentatives de les porter dans leurs bras ou de toucher leurs pattes leur causent du stress.
Réaction? Siffler, griffer ou mordre le visage.
Les experts en comportement félin affirment que les chats britanniques sont plus susceptibles que les autres races d'attaquer les enfants, car ils les perçoivent comme une source de danger plutôt que comme des membres de la « meute ».
