Des scientifiques australiens ont découvert que les propriétaires de chats mettent leur santé en danger. De plus, cela ne concerne pas les personnes âgées, mais les jeunes propriétaires d'animaux.
Selon les dernières données, la présence d'un chat dans la maison double le risque de développer la schizophrénie.
L'Université du Queensland est arrivée à ces conclusions.
Les scientifiques ont dû étudier les résultats de 17 études menées précédemment. Au total, les travaux ont touché 11 pays, dont les États-Unis et la Grande-Bretagne.
Résultats des travaux
Selon les experts, un chat domestique augmente d'environ 2 fois le risque de développer la schizophrénie chez les jeunes propriétaires par rapport à ceux qui ne possèdent pas de chat.
Les symptômes de la maladie se font sentir entre 16 et 30 ans.
Quelles sont les raisons
Les scientifiques pensent que la cause réside dans le parasite commun Toxoplasma gondii.
Il est capable de pénétrer dans le corps humain, pour lequel tout contact suffit.
Ensuite, le ravageur affecte les neurotransmetteurs du cerveau.
Les perturbations dans le fonctionnement de ces produits chimiques biologiquement actifs provoquent des changements de personnalité, des troubles mentaux et peuvent finalement conduire à la schizophrénie.