Trois raisons ont été citées pour lesquelles une femme peut quitter son mari : même un psychologue n'est pas nécessaire

17.07.2024 15:35

Avant de mettre fin à la relation et de demander le divorce, il est conseillé aux époux de réfléchir, de consulter un psychologue et d'essayer de trouver une solution qui puisse sauver la famille.

Dans certains cas, ce conseil ne fonctionne pas, et cela concerne principalement les situations où la décision de divorcer doit être prise par une femme.

Les experts ont cité trois exemples où une femme ne devrait pas réfléchir à la façon de sauver une relation, mais peut simplement quitter son mari ou son partenaire.

Tout d'abord, c'est la violence.

Tout peut commencer par une manipulation ordinaire de la part d'un homme et se terminer par une véritable violence physique.

Dans ce cas, les psychologues utilisent le terme « violence domestique », qui peut désigner différentes formes.

Coupe cassée
Photo: Pixabay

Quoi qu’il en soit, lorsqu’il s’agit d’agressions, il ne devrait y avoir aucun espoir que la situation s’améliore.

Deuxièmement, avoir des enfants

Il est tout à fait naturel qu’une femme veuille devenir mère. Cependant, tous les hommes ne pensent pas sérieusement à la procréation.

Mais ce n’est pas le cas lorsqu’une femme peut sacrifier la possibilité de devenir parent simplement pour garder l’homme qu’elle aime dans sa vie. Dans ce cas, le divorce ne sera pas la fin de la relation, mais le début d’une nouvelle vie.

Troisièmement, la présence de dépendance

Il peut s’agir de n’importe quoi : dépendance au jeu, alcoolisme, substances illégales, etc. Il est important de distinguer les mauvaises habitudes de la maladie et de la réticence d’une personne à lutter contre la dépendance.

Dans chacun de ces cas, les experts suggèrent de penser d’abord aux limites personnelles, à vos objectifs et à une vie heureuse, et non à ce que les gens diront.

Auteur: Igor Zur Éditeur de ressources Internet

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  1. Tout d'abord, c'est la violence.
  2. Deuxièmement, avoir des enfants
  3. Troisièmement, la présence de dépendance